ETH Zurich
Un nouvel interrupteur pour les thérapies cellulaires du futur
Recherche
ETH Zurich
Des scientifiques de l'ETH Zurich ont développé un nouveau commutateur de gènes qui peut être activé à l'aide d'un patch de nitroglycérine disponible dans le commerce et appliqué sur la peau. Ils et elles souhaitent un jour utiliser ce type d'interrupteur pour déclencher des thérapies cellulaires contre diverses maladies métaboliques.
Des étudiantes et étudiants de l'ETH Zurich simulent une mission sur Vénus
Recherche
ETH Zurich
Des étudiants et étudiantes de l'ETH Zurich ont simulé une mission d'exploration de Vénus en lançant des satellites d'essai qu'elles et ils ont eux-mêmes construits à partir d'un avion survolant l'aérodrome militaire de Dübendorf. Ces satellites ont plané jusqu'au sol à l'aide de parachutes, enregistrant des signaux acoustiques pendant leur descente.
Comment l'ETH Zurich envisage de se développer
Enseignement
ETH Zurich
Les «Priorités institutionnelles 2025-2036» et le «Plan de développement 2025-2028» définissent la manière dont l'université entend remplir sa mission au cours des prochaines années.
Comment les extrêmes climatiques alimentent les sécheresses et les fortes pluies
Recherche
ETH Zurich
Le réchauffement de la planète entraîne des températures extrêmes - c'est clair pour la plupart des gens, mais peu d'entre eux réalisent que les sécheresses et les fortes pluies sont symptomatiques d'un climat en crise. Sonia Seneviratne explique les impacts considérables des extrêmes climatiques.
Les ruisseaux de glace se déplacent sous l'effet de minuscules tremblements de glace
Recherche
ETH Zurich WSL
Pour la première fois, une équipe de recherche internationale a montré que d'innombrables petits tremblements de glace se produisent dans l'un des plus grands courants glaciaires du Groenland. Cette découverte permettra d'estimer avec plus de précision l'écoulement du courant glaciaire et les variations du niveau de la mer qui en découlent.
Obèses et en bonne santé
Recherche
ETH Zurich
Le poids corporel et l'indice de masse corporelle ne suffisent pas à prédire si une personne développera une maladie métabolique. Un nouvel atlas des cellules du tissu adipeux pourrait contribuer à expliquer pourquoi certaines personnes en surpoids restent en bonne santé, alors que d'autres n'y parviennent pas.
Page 4 sur 119