EPFL

Menée sur près de 4000 personnes d’ascendance africaine, une étude a permis d’identifier un gène de défense naturelle contre le VIH, en limitant sa réplication dans certains globules blancs. Co-dirigée par l'EPFL, le Laboratoire national de microbiologie du Canada, et l'Imperial College London, elle ouvre la voie à de nouvelles stratégies de traitement.

Des chercheuses et chercheurs de l’EPFL ont accompli une avancée dans le domaine de la bio-ingénierie en mettant au point des organoïdes capables de modéliser les voies respiratoires de l’être humain. Les organoïdes, que l’on appelle AirGels, leur permettent de découvrir le mécanisme par lequel les agents pathogènes résistants aux antibiotiques, tels que Pseudomonas aeruginosa, infectent les voies respiratoires.

En collaboration avec le CHUV, des ingénieurs de l’EPFL proposent un patch d’hydrogel adhésif pour le traitement de l’affaissement des voies respiratoires chez les nouveau-nés.

Des recherches menées au sein de l’EPFL apportent une meilleure compréhension des risques sismiques associés aux forages de grande profondeur qui utilisent la stimulation hydraulique. 

Des chercheuses et chercheurs de l’EPFL ont mis au point un biocapteur hautement multidisciplinaire et assisté par l’IA, pour la détection des protéines mal repliées, liées à la maladie de Parkinson et à la maladie d’Alzheimer.