ETH Zurich

L'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique sont des technologies clés pour la science, les entreprises et la société - mais quelle est la transparence de leurs décisions ? Andreas Krause, lauréat 2021 du prix Rössler et président de l'ETH AI Center, partage ses réflexions sur les opportunités et les défis avec une intelligence artificielle digne de confiance.

Les animaux et les humain·es ne sont pas les seul·es à héberger une communauté complexe de micro-organismes: les plantes le font aussi. Des chercheur·ses de l'ETH Zurich ont récemment publié deux nouvelles études qui mettent en lumière des aspects fondamentaux de ces relations étroites - et souvent négligées.

Niko Beerenwinkel, professeur au département de science et d'ingénierie des biosystèmes de l'ETH Zurich à Bâle, travaille avec des collègues d'autres institutions de recherche pour examiner les eaux usées à la recherche de traces du coronavirus. Il a détecté la variante Delta dans cinq des six stations d'épuration suisses examinées, dont celles de Zurich et de Berne. Il s'est récemment entretenu avec ETH News.

La robotique et l'apprentissage automatique prennent en charge de nouvelles tâches qui étaient auparavant réservées aux humains : les robots peuvent apporter du confort, et les algorithmes aident les juges à rendre des jugements fondés sur des faits.

Aujourd'hui, les méthodes de génétique moléculaire peuvent être utilisées pour sélectionner des cultures durables - comme le riz multinutritif. Les chercheur·ses demandent que le risque des nouvelles variétés végétales soit évalué non pas en fonction de la méthode de sélection, mais en fonction de leurs caractéristiques.